Ce parfum qui t’arrête au beau milieu du sentier, au cœur du bois, tu l’as connu.
Mais en quel été, en quel automne, en une autre vie ?
François CHENG « Le livre du Vide médian »
xuanzhi sur papier népalais 42cm x 36cm
contact : dbb@nordnet.fr
En vérité ces lieux conviennent au cri des insectes, au chant des oiseaux, aux nuits de lune aussi ; c'est l'endroit le mieux fait pour goûter la poignante mélancolie des choses en chacune des quatre saisons .... Junichirô TANIZAKI "Eloge de l'ombre"